La nature s’invite en ville dans le cadre des semaines du développement durable

Marche Nordique consciente à découvrir le long de l'Aire

Dans le cadre des semaines du développement durable 2016, la thématique retenue à Saint-Julien-en-Genevois est la nature en ville. A partir du 21 avril plusieurs événements sont co-organisés par la MJC de Saint-Julien, la municipalité et l’association Apollon 74 : le marché éco-bio, un troc de plantes, des sorties nature ou encore une conférence débat sur le sujet de l'extinction nocturne de l'éclairage public.

Un marché pour consommer bio et local
Lancé en 2010 par l’association Apollon 74, le marché éco-bio est chaque année l’un des temps forts des semaines du développement durable. Il prend de plus en plus d’ampleur et répond à une demande grandissante de la population qui cherche à s’informer de la provenance mais aussi des modes de production des produits et services dans le domaine du bio et de ses multiples labels et déclinaisons.
Le marché réunira plus de 40 exposants associatifs ou marchands autour de l'alimentation, des produits de soins et de santé, de l'habillement, de la décoration, du bien-être et du commerce équitable.  Des ateliers seront proposés autour du jardinage  -  comment installer un mini jardin sur son balcon – la naturopathie ou encore la marche nordique en conscience avec la nature.

Les ateliers du marché éco-bio

Les ateliers gratuits du marché éco-bio
10h - 12h30 : Massage habillé sur chaise par Zahra Chouitar, naturopathe humaniste
11h -12h : marche nordique en conscience avec Nordic’nature
11h : atelier mise en place de la boîte d’échange de graines
13h-18h : atelier land art pour les enfants avec La Maison du Salève
13h30 :  atelier gymnastique énergétique orientale Zahra Chouitar
14h : atelier gestion du stress par la sophrologie Isabelle Dao (sophrologue)
14h30 : fabriquer ses produits ménagers

Et bien d’autres….programme complet ici



Les temps forts de la quinzaine du développement durable  
Marché éco-bio : Samedi 30 avril à la Paguette
Troc de plantes : Dimanche 8 mai
Sortie nature : Dimanche 1er mai de 14h à 17h avec Nature ensemble
La création d'une grainothèque
Une conférence débat sur le sujet de l'extinction de l'éclairage public : Mardi 3 mai.


Coworking et cocréation, pourquoi ces nouveaux modes de travail émergent ?


Marion Majou, créatrice d'Entrelac

Le coworking ou co-travail, c’est quoi ? Un nouveau job tendance, un phénomène de mode ou une révolution culturelle ? Un peu des trois à la fois. Quête de liberté, quête de sens, nouvelle organisation des entreprises, délocalisation, dématérialisation, ils sont de plus en plus nombreux à changer de vie et changer de job, à travailler nomade, chez eux ou dans des espaces de co-travail.

De plus en plus de créateurs de leur job 
Free-lance, auto-entrepreneurs, consultants en portage salarial ou salariés en télétravail… Les formes d'emploi en marge du salariat traditionnel se sont multipliées ces dernières années. Ils sont créateurs de leur micro-entreprise et du job de leur rêve sans pour autant monter une SARL. Ils ont fait le pari de quitter le monde de l’entreprise et de travailler à leur rythme en devenant des travailleurs nomades.

La France compte aujourd’hui 25,8 millions d’emplois, dont 22,8 millions de salariés et 3 millions d’indépendants. Parmi eux près d’un million d’auto-entrepreneurs, 42 000 en portage salarial, soit cinq fois plus qu'en 2002. Controversé, le régime de l’auto-entrepreneur qui devait être supprimé est finalement aménagé et transformé en micro-entreprise. En effet, sa mise en place très simple a largement encouragé la création d’entreprise, et donc d’emplois, depuis sa création en 2009.



Coworking ou co-travail, c’est quoi ?
Adieu bouchons, réunions qui finissent tard le soir, adieu patrons et collègues stressés, RTT, arrêts maladie et congés payés. Bienvenue dans la vie du travailleur moderne qui souhaite concilier vie personnelle et vie professionnelle à son rythme, mais surtout à moindres frais, histoire de ne pas se mettre la pression avec de gros emprunts.

Si les nouveaux créateurs d'entreprises choisissent la liberté d’agir, ils optent aussi pour l’autonomie financière. À micro-entreprise, micro-budget. Le plus simple c’est alors de poser son ordinateur sur un coin de table, sur un bureau à la maison, ou encore au café du coin pour rencontrer du monde.
Oui mais voilà, arrive le jour où le créateur solo en a marre de parler à son chat, de faire tourner la machine à laver entre deux factures, de tenter de travailler pendant que les enfants se chamaillent… Il ressent le besoin de rencontrer du monde, des indépendants qui ont les mêmes problématiques, de réseauter, de quitter sa bulle internet et rencontrer des gens en vrai, avec qui il pourra créer de nouveaux et grands projets.

C’est ainsi que le coworking, ou travail partagé, est né du besoin d’échange de la communauté grandissante des indépendants, au début des années 2000, à San Francisco. Imaginez un espace où ces indépendants travaillent ensemble mais pour des clients distincts, un environnement stimulant, sans hiérarchie, sans compétition, sans politique, un cadre convivial et cosy. Des lieux comme cela existent, ce sont les espaces de coworking, et il y en a de plus en plus sur le territoire du Grand Genève.

Le Coworking dans le Grand Genève se développe


Rencontre avec Marion Majou, créatrice d’Entrelac, espace de coworking à Annemasse

Comment as-tu eu l’idée de créer un espace de coworking ? Quel rêve as-tu fait ?
J’ai eu l’idée de créer Entrelac en voyant les espaces de coworking fleurir à Londres, où je résidais avant de m’installer dans la région. En arrivant ici, j’avais en tête de lancer ma propre activité indépendante en travaillant depuis mon domicile. Très vite, j’ai eu du mal à me concentrer sur mon projet tout en jonglant avec les contraintes domestiques et familiales. Donc, cet espace de coworking, au départ, c’était pour répondre à mon propre besoin et à mon envie de développer un réseau professionnel sur ce territoire où je ne connaissais personne.

Avant, tu avais un autre job ? Tu faisais quoi ?
J’ai travaillé pendant 10 ans dans le développement des politiques publiques à Bruxelles puis à Londres. Je me suis spécialisée dans le domaine de l’emploi et de la formation, découvrant ainsi les nouvelles formes de travail au sein de structures telles que la Commission européenne, un syndicat patronal anglais puis un ministère britannique.

Un pari plutôt risqué ? De quelles aides as-tu bénéficié ?
Un pari risqué, oui, car le coworking était encore méconnu quand j’ai démarré le projet en 2013. À part La Muse à Genève, à l’époque il n’y avait rien dans la région. Petit à petit, « les étoiles se sont alignées » : développement d’une (toute) petite communauté de membres potentiels, intérêt pour le projet auprès des acteurs économiques et politiques du territoire, approbation des demandes de financement bancaire, et coup de pouce d’Annemasse Agglo pour trouver un local.
Outre une formation à la création d’entreprises via le dispositif IDECLIC, j’ai bénéficié d’un prêt d’honneur et d’un prêt NACRE via la plateforme Initiative Genevois qui continue de m’accompagner à ce jour.


Aujourd’hui tu cohabites avec Puls, peux-tu nous expliquer comment ?
Nous faisons plus que cohabiter ! Puls est une pépinière d’entreprises qui propose aux jeunes pousses innovantes du secteur de la ville durable des bureaux clés en main et un accompagnement régulier de leur activité. À l’origine lancée par Annemasse Agglo avec la Maison de l’Économie Développement, le souhait dès le départ était que la pépinière soit un lieu vivant. Il était évident qu’Entrelac et Puls avaient des besoins communs que ce soit au niveau des espaces partagés (cuisine, espace détente, salles de réunion) ou de l’animation du lieu. C’est donc un partenariat public-privé qui s’est mis en place, par lequel nous mutualisons des moyens, mais surtout, un véritable écosystème entrepreneurial qui se développe bien depuis notre installation dans nos nouveaux locaux en septembre 2015. Nous apprenons beaucoup les uns des autres. Comme quoi, quand la volonté est là, le public et le privé peuvent collaborer intelligemment !


Retrouvez la suite de l'article et les espaces de Coworking du Grand Geneève dans la version papier de GENEVOIS Styles.

Bérénice Albertini, une plume de Paon vole sur le web

Une créatrice d'entreprise proche de la nature et de sa nature 
Un jour ma Plume a rencontré celle de Bérénice Albertini, alias Studio Paon. Immédiatement j’ai su que nous avions beaucoup de points commun et mille et une choses à partager. Nous parlions la même langue, où presque, celle des oiseaux qui volent au gré des courants, pour aller vers leurs rêves et leurs intuitions, mais surtout là où leur coeur leur souffle d’aller.

Bérénice Albertini a crée son entreprise de communication web et elle accompagne les entrepreneurs, professions libérales et artisans pour la création de site web.
Elle est aussi blogueuse et partage ses expériences de la vie sur son blog My Simple Life. Enthousiaste et entrepreneuse, amoureuse de la vie, elle s’est engagée dans l’aventure des CréActeurs du Genevois dès la création de l’association.


Que faisais-tu dans une autre vie ?
Dès la fin de mes études, il y a une dizaine d’années, j’ai travaillé pour plusieurs multinationales dans le domaine de la communication et du management de projet. Relations publiques, publicité, merchandising, marketing, stratégie web, j’ai d’emblée travaillé pour des grands comptes, de grandes entreprises cotées en bourse. Des projets de com`représentant des dizaines de milliers d’euros, des dizaines et des centaines d’heures à cogiter, à réfléchir en réunion, à travailler avec de grosses équipes, avec l’envie de bien faire et surtout la peur de ne pas réussir, de ne pas en faire assez.
Malgré tout, en peu de temps, j’avais presque tout réussi. Vie personnelle et vie professionnelle, tout semblait rouler, mais au fond de moi je sentais bien que quelque chose n‘allait pas, ne tournait pas rond.

Qu’est-ce qui t’a poussée à créer ton entreprise ?
Un licenciement d'une start-up Suisse un peu brusque a continué ma mise en route sur les chemins de l'entreprenariat.
J'avais les compétences, un passé personnel qui m'avait fait travailler sur moi même et ma confiance en moi, et mon mari à mes côtés pour m'encourager dans cette voie.
Les outils que je peux récolter dans les ateliers, la sophrologie que j'ai pratiquée pendant 3 ans, la lecture et l'écriture sur mon blog m'aident au quotidien.
De plus en plus sur mon chemin, je me rend compte que ce qui m'importe ce sont les relations humaines, de pouvoir travailler en direct avec les clients qui sont fiers et heureux du travail réalisé ensemble. C'est aussi des très petites entreprises avec qui je tisse des liens de confiance et une relation durable et équitable.

J’aime le concret, la création, être dans l’action, être en contact avec le créateur, l’entrepreneur.
Je n’aime pas la lenteur et la hiérarchisation des grosses entreprises, l’impression d’être un numéro, un pion sur l’échiquier.

Le Paon, symboliquement lié à l'âme et de nature libre.


Pourquoi Studio Paon ?
En résumé Studio Paon c’est l’artisan du web et l’expertise “conseil” d’une agence.
Je travaille avec des indépendants, professions libérales et artisans mais j'applique une méthodologie et un conseil que j'ai appris en agence, pour qu'ils aient toutes les clés. Il me fallait donc un symbole qui puisse transmettre tout ça.

Studio c’est pour signifier l’aspect collaboratif, le partenariat avec les autres acteurs du web. Par exemple, si un client a besoin d'un logo, je le mets directement en contact avec le graphiste. Et de l'autre côté, il y a l’indépendant que j’accompagne, qui est vraiment un partenaire : il connait son métier, quels sont ses clients idéaux et je l'aide à transformer ces informations en résultat concret. C'est une collaboration.

Le Paon, l’oiseau, est un symbole important pour moi. L’oiseau est symboliquement lié à l’âme et de nature libre. A mon sens un indépendant a plus besoin d'être libre et ne répond pas à des règles précises, il est flexible, il s'adapte.

Ainsi, j'aide les indépendants à faire la roue sur le web :)

Même si au départ un Paon n'avait rien à voir avec le web, mon entourage s'amuse à prendre des photos de paon dans des musées (il y a d'ailleurs en ce moment une chouette expo au musée confluence à Lyon) ou d'autres lieux et pensent à moi. Il y a des idées qui vous viennent spontanément et qui parlent aux gens ! (cela s’appelle l’intuition Bérénice ;-)

Pourquoi avoir rejoint l’association les CréActeurs du Genevois ?
Parce que je partage la vision et les valeurs de l’association, qui sont la mise en lumière de la création et de la production locale, l’entraide et la solidarité et surtout l’idée que chacun puisse être co-acteur de sa vie, de décider de son avenir.
Une de mes citations favorites : « On ne subit pas l’avenir, on le fait ! » – G.Bernanos
Et enfin pour la qualité de la relation humaine et du partage que j’ai trouvé avec toi Pascale, comme une évidence, lorsque nous nous sommes rencontrées.

Retrouvez Bérénice Albertini, blogueuse et professionnel du web
 sur son blog : www.mysimplelife.fr
 sur son site pro : www.studiopaon.com

Happy culture, le miel miracle de la nature



Le miel est un aliment exceptionnel, mais c’est aussi un médicament miracle dont les vertus thérapeutiques étaient déjà connues dans l’Antiquité par les Égyptiens, les Grecs et les Romains. Il est produit par les abeilles selon un mode opératoire collectif exceptionnel.

Aujourd’hui de nombreuses menaces planent sur ces merveilleuses butineuses dont l’avenir est lié au nôtre. Nous avons voulu en savoir un peu plus sur leurs conditions de vie et la production de miel en Haute-Savoie.


Retrouver le chemin de sa nature, au naturel


Zahra Chouitar, naturopathe humaniste

Naturopathe Humaniste formée et diplômée du Centre de Formation professionnel Kairos de Parme, en Italie, Zahra Chouitar accompagne toute personne souhaitant prendre en main sa vie et son bien-être dans le respect et la valorisation du potentiel humain. Les soins proposés ont pour but le bien-être, la libération des tensions physiques, mentales et émotionnelles.

S'auto-guérir et demeurer en bonne santé
La naturopathie humaniste s’attache à la prise en compte globale de la personne, mental, corps et esprit, par une méthode, le bio-massage énergétique, conçu et codifié par Pino Ferroni, fondateur et directeur du centre de formation de Parme. Cette technique s’inspire de la bioénergétique occidentale (W.Reich et A. Lowen), de la médecine traditionnelle chinoise et du modèle de vie taoïste.
L’objectif du naturopathe est de rééquilibrer et d’harmoniser les processus naturels de l’organisme afin qu’il s’auto-guérisse et demeure en bonne santé, par un parcours psycho-corporel de réapprentissage des sensations et de l’état actuel du corps à travers un traitement sur les lignes énergétiques et sur les points de tensions musculaires.

« Un corps vivant est un corps vibrant. » Alexander Lowen


Un chemin vers la joie de vivre et l'amour
« Le parcours de sensibilisation émotionnelle aide à dépasser le mal-être existentiel, vaincre l’anxiété et la peur, prévenir les différentes maladies liées au stress, à l’insatisfaction et à la frustration » présente Zahra Chouitar.
Un mal-être existentiel est une difficulté à vivre de manière correcte ses propres émotions. C’est un trouble du Shen, l’énergie subtile qui héberge dans notre cœur selon la médecine traditionnelle chinoise, qui peut se traduire en stress, insomnie, cauchemar, trouble de la mémoire, insatisfaction, angoisse, nervosité, … La naturopathe par le biais du bio-massage énergétique va faire prendre conscience de la cuirasse musculaire et caractérielle et assouplir celle-ci afin de libérer l'énergie bloquée (l'émotion bloquée) et permettre ainsi à la personne de retrouver sa vitalité et d'utiliser cette énergie pour réaliser ses désirs. En cultivant sa tranquillité intérieure et par conséquent son Shen, la personne peut enfin se sentir en harmonie et retrouver l’unité corps-mental-esprit et sa capacité à vivre pleinement dans la joie et l'amour.


« Je sens et je pense, donc je suis, mais avec amour. » Pino Ferroni

Zahra Chouitar – Naturopathe Humaniste
19, avenue de Genève - 74160 Saint-Julien-en-Genevois
Sur rendez-vous : +33 (0) 7 87 69 70 92 ou +41 (0) 76 75 27 535
www.letouchershen.com


Les gymnastiques énergétiques orientales
Additionnellement à ses soins individuels, Zahra Chouitar propose des cours collectifs de gymnastique énergétique dont l’origine remonte à la Chine Antique selon une technique très simple et efficace pour rééquilibrer, assouplir le corps, harmoniser l’énergie et rester en bonne santé.
Cours à Saint-Julien-en-Genevois tous les mercredis de 19:00 à 20:00

Le virage du vélo électrique avec Espace Cycles

Philippe Leclerc - gérant d’Espace Cycles

Il y avait un virage à prendre et Philippe Leclerc, gérant de la boutique Espace Cycles à Saint-Julien-en-Genevois l’a pris. Depuis cette année, il a décidé de se spécialiser dans le vélo électrique. Ce moyen de locomotion doux et écologique, trait d’union entre vélo et moto, a le vent en poupe. Il permet d’avaler les kilomètres et d’éviter les bouchons. À n’en pas douter, la solution au problème des transports dans le Genevois.

Le secret de l’autonomie tient dans la batterie

Espace Cycles mise sûr les marques KTM, Cube, Matra, équipées de motorisation et batteries BOSCH, la seule marque qui dispose d’un service après-vente partout en France, non liée à un revendeur. Elles sont garanties deux ans, mais leur durée de vie est bien plus longue. Leur autonomie est de 100 kilomètres en moyenne et deux petites heures suffisent pour les recharger.

« Ce qui fait le prix d’un vélo électrique, c’est d’abord le prix et la qualité de sa motorisation
 et de sa batterie. »

Au travail ou en balade, à bicyclette

Madame Martin, habitante de Collonges-sous-Salève ne tarit pas d’éloges sur le vélo électrique. Il a changé sa vie, et chaque jour, été comme hiver, elle se rend à son travail à Carouge. Les bouchons sautent et les distances se parcourent plus vite, elle totalise déjà 4 000 kilomètres au compteur en une année. Que ce soit pour grimper au Salève ou rouler sur la ViaRhôna, le vélo électrique est le compagnon idéal des balades aux beaux jours.

Vélos de villes, VTT, fat bike, vélos enfants, Espace Cycles propose une gamme complète de vélos électriques et d’équipements pour cyclistes, gilets, casques, pièces de rechange… Référent BOSCH, il mise sur le Service Après Vente pour offrir des prestations de proximité et de qualité à ses clients sur le long terme.

La boutique Espace Cycles, spécialisée dans les vélos électriques


Espace Cycles – 7 bis Ancienne route d’Annecy -
74160 Saint-Julien-en-Genevois - Tél : 04 50 49 26 07
www.espace-cycles.fr - Facebook/espacecycles

Parking gratuit et piste d’essai de vélos devant le magasin (derrière le garage Citroën)


Faire accepter un changement à son entourage, les scénarios possibles par Bérénice Albertini


J’ai récemment regardé ce documentaire sur un Youtubeur anglais Tyler oakley “Snervous Tyler Oakley” dans lequel il montre l’envers du décors de sa tournée d’humoriste mais aussi comment il a dû faire face à la réaction de son père quand il lui a dis qu’il était gay. Sans pour autant faire face à des changements aussi difficiles à communiquer, il nous arrive à tous de passer par des étapes qui ne sont pas comprises par notre entourage. Que ce soit l’envie de ne pas avoir d’enfants, le besoin de changer de boulot (ou de démissionner), ou tout simplement de changer une routine.

Comment faire accepter le changement à son entourage (pro ou perso) ? Passage en revue de 4 scénarios. 



Scénario 1: mon entourage refuse ce changement
“J’ai envie de te crier dessus!” ou “J’ai envie de pleurer tellement ça me rend triste”
Lorsque j’étais salariée j’ai été amenée à la fois à démissionner, puis à négocier un licenciement. Dans les deux cas c’était un choix de mon fait, qui n’a soit pas été du goût de mon entourage, soit de ma hiérarchie.
J’étais triste de démissionner, car j’avais trouvé mieux ailleurs mais j’allais quitter le meilleur Directeur de toute ma carrière en tant qu’employée ( je suis maintenant à mon compte).
En revanche dans le cas où j’ai demandé un licenciement, cela ne s’est pas du tout bien passé : ma hiérarchie n’acceptait pas pour moi ce qu’elle avait permis à d’autres. Quelle injustice !
Les résultats ? A part une blessure que je m’infligeait à moi même dans les deux cas, rien n’a changé : j’ai quand même obtenu ce que j’étais venu chercher !