Rallye des Gazelles : J-45 avant le départ

Sylvie Deroo et Maryline Biotteau au départ du 24ème Rallye Aicha des Gazelles

"Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais" affirment haut et fort Sylvie et Maryline. Ou encore « « Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. » Un rêve qui est en passe de devenir réalité, car dans un mois et demi l’équipage 141 sera dans le désert au volant de sa destinée. 

Elles ont presque bouclé leur budget (35000€), de nombreux partenaires ayant été séduits par leur enthousiasme et leur professionnalisme et se sont embarqués à leurs côtés dans l’aventure. «  Nous avons bien fait de consacrer du temps et un budget à notre com’, site internet et plaquette de présentation, nous avons été prises au sérieux et notre projet bien accueilli » témoigne le duo.

Dans leur aventure elle soutiennent l'association Rêves qui réalise les rêves des enfants malades, espérant ainsi pouvoir aider l'association à réaliser d'autres rêves … L’argent qui n’aura pas été dépensé pendant l’expédition ( frais divers, franchises assurance, dons des partenaires) seront reversés à l’association Rêves. 282 € ont d’ailleurs déjà été donné après la soirée Marocaine de soutien, organisée au Casino de Saint-Julien au mois de novembre.

Deux parrains de renoms et de nombreux partenaires locaux
Jean-Pierre Rives et Bernard Laporte ont apporté d’emblée leur soutien à Sylvie et Maryline. Le Casino de Saint-Julien (leur employeur) et de nombreuses entreprises locales les ont rejoint. «  Nous remercions notre directeur, Patrick Pequiot pour son soutien inconditionnel qui nous a porté dans cette aventure ; il a cru en nous et nous a permis d’aller au bout de notre rêve. »

« Aller au bout de son rêve au nom d'un sens commun fort est le départ de toute aventure et de toutes les espérances. Allez Maryline! Allez Sylvie! » Jean-Pierre Rives

« Pendant toute ma carrière, comme joueur et entraineur, j'ai encouragé l'effort et le dépassement de soi. L'esprit de compétition, lié à la motivation ont toujours été mon crédo. Je suis certain que vous possédez toutes ces qualités pour arriver à gagner ce challenge dans lequel vous allez vous lancer. Recevez tous mes encouragements et bonne chance à nos deux Gazelles. » Bernard Laporte

Encore un mois de préparation, d'apprentissage à la conduite sur sable ou à la lecture de carte, quelques conseils en course d'orientation avec l'une de leur partenaire et soutien, une soirée Chinoise, les valises à boucler, les vérifications techniques... Bref pas le temps de s'ennuyer avant le Jour-J.

Après la Maroc, destination la Chine pour une autre soirée en compagnie des Gazelles, ce vendredi 31 janvier : venez célébrer le Nouvel An Chinois "Année des gazelles" au Casino de saint Julien dans la tradition avec une animation indissociable, la danse du dragon !!! 
Plus d’infos : site Neige et Sable

Visite privée dans les locaux de la FIA à Valleiry

Pascale Weber - inauguration FIA - 24 janvier 2014
L'inauguration du nouveau centre logistique et technique de la FIA, à Valleiry vendredi dernier (24 janvier 2014) en présence de Jean Todt, président de la Fédération internationale d'automobile, a attiré près de 500 people, élus et journalistes. 
L’espace de quelques heures, le petit bourg rural du Genevois Haut-Savoyard se retrouvait sous les feux des projecteurs. Nous avons eu droit à une visite des lieux, avant que les portes du sanctuaire de la F1 ne se retrouvent fermées aux curieux, abritant les secrets des activités de l'instance internationale du Sport Auto.

Pourquoi avoir choisit Valleiry ?
"Nous avions l’intention depuis un certain temps déjà de regrouper nos opérations logistiques et techniques sous un même toit et je suis très heureux de voir enfin ce souhait concrétisé" a déclaré le Président de la FIA. "Ce nouveau centre servira non seulement de plate-forme pour renforcer l’excellence technique mais il permettra aussi à la FIA de mieux planifier ses opérations de sport automobile et de réaliser ainsi des économies significatives à l’avenir."

Conçu pour être le pôle technique des grands championnats de la FIA, ces installations d’une superficie de 9000 m2, situées à une vingtaine de kilomètres des bureaux de la FIA à Genève, centraliseront les opérations jusqu’à présent réparties sur divers sites.

Quelles activités pour ce centre technique ? 
Le centre offrira un espace de travail indispensable pour le personnel logistique et technique, lui permettant de mieux coordonner la présence de la fédération sur les épreuves de sport automobile à travers le monde. Il hébergera également tous les véhicules et équipements support que la FIA dépêche régulièrement sur les épreuves, dont notamment la station radio et météo,  deux camions de restauration et les deux camions techniques présents sur chaque Grand Prix de Formule Un en Europe ainsi que l’équipement et les véhicules utilisés sur le Championnat du Monde des Rallyes, le Championnat du Monde des Voitures de Tourisme et les Championnats du Monde de Karting. Le site regroupera également tous les équipements homologués par la FIA, les supports électroniques et informatiques, les systèmes mécaniques ainsi que les archives de la Fédération.


Cette réalisation a pu se faire avec le soutien du Conseil Général et de la commune de Valleiry qui voit avec la venue de la FIA,  une occasion en or de faire revivre sa zone industrielle. Si le nouveau centre ne devrait pas créer d'emploi au niveau local, il aura pour vocation à attirer d'autres entreprises du monde de l'automobile, de dynamiser l’économie sur le territoire et d’engager des actions au niveau du département en faveur de la sécurité routière.


L’inauguration du nouveau Centre logistique et technique s’est déroulée en présence de élus nationaux et locaux tels que les députés de Haute-Savoie Virginie Duby-Muller et Sophie Dion, les sénateurs Pierre Hérisson et Jean-Claude Carle, le président du conseil général de Haute-Savoie Christian Monteil, le maire de Valleiry Marc Favre, des propriétaires du site Messieurs Roux et Vuignier, ainsi que des élus et l’ensemble des collaborateurs de la FIA.

Visite des locaux du centre logistique et technique de la FIA, à Valleiry.

Stockages des camions techniques...

espace météo et radio sur les Grands Prix de F1.
Entrepôts et locaux pour les archives

Bureaux et salles de réunions 

Un appartement pour le personnel détaché à Valleiry.


Rencontre avec Nicole Ferroni, une ex prof qui a laissé éclore son talent


Nicole Ferroni au Centre Ecla de Vulbens

Nicole Ferroni était sur la scène du Centre Ecla de Vulbens ce jeudi 23 janvier. Signe de sa popularité, le spectacle affichait complet bien avant sa venue. Ils étaient 237 à rire un peu, beaucoup, passionnément, à la folie....pas du tout ? En ces temps de morosité, on peut même rire de la crise, et ça fait du bien !

Il y a 3 ans jour pour jour, Nicole Ferroni troquait sa blouse blanche de prof de biologie pour le costume de saltimbanque. Une reconversion plutôt réussie avec à la clé un succès immédiat, à la hauteur du talent qui sommeillait en elle. Un jour, telle la poule qui pond son œuf, elle l'a laissé éclore… Rencontre.

Comment une prof de bio devient humoriste ?
J’ai toujours aimé et fait du théâtre depuis le lycée. Mes amis, mon entourage me disaient que j’avais du talent pour faire rire les gens, mais je n’avais pas imaginé en faire mon métier.  Un peu comme un déni de grossesse, j’ai pendant longtemps ignoré ce rire tapit au fond de mon ventre, et qui ne demandait qu’a sortir. Et puis un jour, à la faveur d’une suppression de poste (et oui ça existe dans l’enseignement) je me suis permis d’écrire mon premier spectacle…

D’où tirez-vous votre inspiration ?
Des gens que je rencontre, de mon entourage, des situations de la vie, de mon métier passé aussi, la biologie est présente dans mes références. La poule, l’œuf, la vie, la naissance, en sont déjà des exemples. Et puis je laisse mon imagination délirer vers des situations loufoques, ubuesques, comme dans le sketch de la cantatrice allemande.

L’œuf, la poule ou Nicole, d’où vous viens le titre de votre spectacle ?
C’est très étrange… ce n’est pas moi qui ai trouvé le nom. C’est un ami qui me l’a suggéré, alors que j’avais fait un appel à idées sur mon mur Facebook. L’œuf, la poule ou Nicole, j’ai trouvé cela bizarre, mais cela me parlait, je ne savais pas encore pourquoi. Puis après, je me suis rendue compte que l’on m’appelait poulette, puis pendant que j’écrivais mon spectacle…c’est quand que tu vas pondre ton œuf. Enfin un jour, en écoutant la radio dans ma voiture, une chronique sur France Inter parlait du livre «L’oeuf et la poule ». un véritable signe du destin, j’ai donc écrit mon spectacle autour de cette idée.

Finalement une image inconsciente de ce que vous étiez en train de réaliser ?
Oui c’est incroyable le destin… Comme quoi il faut écouter son cœur, ses aspirations, savoir reconnaître les signes que la vie nous envoie. Réaliser ses rêves, vivre ses passions c’est ce que je souhaite à chacun. Dans mon spectacle, je joue une femme d’affaire au bord de l’hystérie qui tente de se détendre par le yoga, alors qu’elle mène une vie dont le sens s’est perdu, basée sur l’argent et le pouvoir. Moi aussi j’ai frisé le burn-out dans mon ancien job, parce que je n’étais pas vraiment à ma place. Aujourd’hui ma vie a retrouvé un sens. Comme quoi, le changement est possible, pour chacun d’entre nous, pour redonner un sens à sa vie, à la Vie .

Propos recueilli par Pascale Weber.  Merci Nicole Ferroni pour cette fraîcheur et spontanéité. Merci à Serge Benito et à la MJC du Vuache pour ce partage de rire et d’humour.


Nicole Ferroni disponible pour ses fans : 




Elles vont coiffer Stromaë et Vanessa Paradis aux Victoires de la Musique.


Emilie, Karine et Robin coifferont les artistes aux Victoires de la Musique 2014

C’est une belle histoire, celle du salon de coiffure L’Instant Précieux de Collonges sous Salève, qui pour la deuxième année consécutive ira coiffer les artistes à l’occasion des Victoires de la Musique, le 14 février prochain.

Le salon est tenu par Karine Lafaye, parisienne d’origine, installé en Haute-Savoie depuis une vingtaine d’année. Karine a fait de sa passion son métier. Pour elle, la coiffure est un art, synonyme de créativité. Les couleurs patinées ou explosives, les coiffures de fêtes, les chignons de mariées sont devenus peu à peu sa marque de fabrique. Ce qu’elle aime par dessus tout ce sont les tresses originales, sophistiqués ou élégantes. Ce sont toutes ces coiffures qui l’ont faite remarquée via sa page Facebook par les organisateurs des Victoires de la Musique.

Les tresses originales, créations de Karine.


En 2013, le petit salon de province monte à la capitale pour passer une audition… ou plutôt une sélection aux côtés de 50 autres salons pour espérer coiffer les stars de la chanson. Le rêve devient réalité quand l’équipe de l’Instant Précieux est retenue pour coiffer les artistes aux Victoires de la Musique. Au total plus de 150 coiffures à réaliser le soir du show, de l’orchestre aux choristes, des chanteurs ou groupes pop, ils sont tous mis en beauté par Karine, Emilie et Robin avant de monter du scène.

Rock attitude pour Mme Monnet, l'une des fidèles clientes du salon 

L’ambiance électrique d’un show, des dizaines de coiffures à réaliser en quelques heures seulement, un réel défi, mais aussi une belle motivation pour l'équipe. C’est une soirée extaordinaire pour l’équipe qui aime l’exigence, les tendances, les nouveautés, l’esprit festif de la coiffure. « Ce sont des rencontres incroyables avec des stars qui finalement sont des personnes très simples et abordables pour la plupart, très sympas à coiffer et qui nous font entièrement confiance » confie Karine. « Mathieu Chedid, par exemple, d’une grande gentillesse, est venu nous apporter du champagne dans les loges… »


Mathieu Chedid et Karine Lafaye

De Vanessa Paradis à Stromae, de Johnny Halliday à Maitre Gims, le salon L'Instant Précieux va coiffer les prétendants aux Victoires de la Musique 2014.

Salon L'Instant Précieux  - 54 Place de Savoie - 74160 Collonges-sous-Salève
Tél : 04 50 43 86 48

Les jumeaux intergalactiques Igor et Grichka Bogdanov débarquent à Archamps Technopole


Temps X, dans les années 80...

Les invités se succèdent et ne se ressemblent pas aux Rendez-vous d’Archamps. Après une évasion buccolique avec le jardinier Alain Baraton, psychologique avec Christophe Fauré, vous entrerez ce vendredi dans la 4ème dimension intergalactique avec les Frères Bogdanov.

Igor et Grichka débarquent sur la planète TV un après-midi d’avril 1979, vêtus de combinaisons irisées futuristes à bord d’une soucoupe volante, digne de la « Soupe aux choux ». L'époque est alors à la prospective. Les futurologues invoquent les manipulations génétiques pour venir à bout du cancer, la venue de l'intelligence artificielle et autres découvertes scientifiques bouleversantes qui vont offrir un nouvel essor structurel à notre civilisation. La science promet des habitations sur la Lune, des véhicules aéroglissants, et même la possibilité de reculer les limites du vieillissement…ce que tentera de faire le duo.

La littérature de Science-Fiction a également le vent en poupe, de Ray Bradbury et ses Chroniques ­martiennes à Arthur C. Clarke et son 2001 l'Odyssée de l'espace, en passant par le Blade Runner de Philip K. Dick, La Guerre des mondes d'Herbert George Wells ou encore Barjavel avec La Nuit des Temps ou Ravage. Les frères Bogdanoff inaugurent, un nouveau magazine dédié à la science-fiction «Temps X» et vont faire vivre une aventure aux frontières de l’infini à toute une génération d’adolescents (dont moi ! ).

De Star Trek à La Quatrième dimension, ces histoires fantastiques, étranges, énigmatiques dont le but était, comme le disait son créateur Rod Serling, « de frapper le téléspectateur, de le choquer par la chute toujours inattendue, surprenante et singulière de chacune de ces histoires », emmènent le spectateur au delà du réel.

30 ans plus tard, Les Frères Bogdanov n'ont pas pris une ride 

Les Frères Bogdanov sont-ils eux aussi allés au delà du réel, ont-ils tenté de repousser les frontières du futur, de reculer les limites du temps ? Si leur transformation est un mystère de la science, leur émission a contribué à la vulgariser, malgré ses imprécisions. Depuis son arrêt à la fin des années 80, les jumeaux ont publié de nombreux ouvrages traitant de sujets sérieux ou sensationnels en matière de science-fiction ou de cosmologie.

Dans leur dernier opus "La fin du hasard", les frères Bogdanov suggèrent que l’univers est régi selon un plan créé par un architecte ! L’évolution de l’univers et de la vie relève-t-elle du pur hasard ou bien une entité non pas divine mais mathématique voire informatique gère-t-elle ce semblant de chaos qui nous échappe et qui serait finalement parfaitement ordonné ? C’est cette deuxième thèse que défendent avec acharnement Igor et Grichka Bogdanov, avec en figure tutélaire Albert Einstein.

Si pour Albert Einstein, la nature n’obéit pas au hasard, pour Niels Bohr, le fondateur de la physique de l’infiniment petit, l’insaisissable comportement des particules élémentaires se perd dans le flou du hasard. Alors la matière et tout ce qui existe sont-ils la proie du hasard aveugle ou la réalité repose-t-elle sur des lois dont l’origine reste énigmatique ? Qui croire finalement ?
Igor et Grichka Bogdanov tenteront d’éclairer les participants sur ce sujet qui passionne les hommes depuis des centaines d’années.

Conférence les Rendez-vous d’Archamps, vendredi 17 janvier à 20h30 au Centre de convention
Avec les frères Igor et Grichka Bogdanov, les deux essayistes viendront parler de hasard à l’occasion de la sortie de leur dernier ouvrage intitulé “La fin du hasard”. Séance de dédicaces.




J'ai redécouvert le savon de Marseille


L'authenticité et le parfum du véritable Savon de Marseille

J’ai toujours adoré l’odeur du Savon de Marseille. Je ne sais quels souvenirs d’enfance elle évoque pour moi. Peut-être ma grand-mère l’utilisait-elle pour ses lessives ? Je n’ai jamais pu lui demandé, elle est partie depuis bien trop longtemps.

Je me suis souvent procuré les fameux pains de Savons de Marseille, mais vu que je ne suis pas une adepte de la lessive à la main à l’ancienne, ils sont souvent restés en décoration sur le bord de ma baignoire. J’ai aussi acheté les lessives liquides Skype ou HOMO « odeur savon de Marseille », mais que l’on ne s’y trompe pas, elles n’ont de Marseille que le nom. Et puis, à force d’entendre que ces lessives sont détergentes, voir dangereuses pour notre peau et l’environnement, je me suis peu à peu ralliée à la bonne cause.

La cause écologique mais aussi économique. 
Cela, le jour où j’ai rencontré Anna Peccoud, créatrice de linge de maison Bio sous la marque Bohemeria. Pour l’entretien naturel de ses tissus naturels,  elle m’a expliqué l’existence et les bienfaits des copeaux de savon de Marseille Marius Fabre. L’échantillon qu’elle m’a gentiment offert a fini de me convaincre. Depuis, je l’ai adopté pour ma machine à laver. Elle m’a également livré un autre secret : remplacer ce bon vieux coup de kalgon par du vinaigre d’alcool. Un petit verre dans le bac à lessive, et hop, le calcaire, il en fait son affaire !

Quel bonheur, ce beau baril aux allures rétro trône désormais fièrement sur ma machine à laver. Son odeur me ravit à chaque machine. J’allais oublier, encore une astuce. Avec le savon de Marseille, le linge est tout doux sans même rajouter d’assouplissant (lui aussi bourré de produits chimiques mauvais pour qui vous savez…). Par contre, si vous voulez rajouter un petit parfum de lavande, quelques gouttes d’huiles essentielles et le tour est joué. Faire la lessive est désormais un vrai plaisir… Et vous vous utilisez quelle type de lessive ?

Je pense à l’environnement, mais aussi à mon porte-monnaie !
Minou au savon de Marseille : 9 € pour 28 lavages, soit à 0,32€ par lessive.
Véritable savon de Marseille en copeau : 15€ le kg, soit environ 100 lessives (j’ai compté, une poignée, soit 10gr par lessive), soit 0,15€


crédit Marius Fabre
Les copeaux de savon de Marseille Marius Fabre sont fabriqués à base d'huiles 100 % végétales, selon la méthode traditionnelle marseillaise, cuit en chaudron. Ils sont garantis sans colorant, sans parfum ni additif. Ils sont recommandés pour un lavage doux et efficace de tous les textiles, en particulier du linge délicat (linge de bébé, laine, soie, dentelle, etc...)
Fabriqués selon une recette familiale particulière, nos copeaux sont, en fin de fabrication, parfaitement séchés et déshydratés.
Biodégradables et sans phosphates, ils ne polluent pas les rivières et contribuent ainsi au respect de l'environnement.


Un autre regard sur le cinéma…


Avec Abderrahmane Bekiekh, enseigne le 7ème Art

Voir un film mais au-delà, le regarder, l’analyser, comprendre le message, lire les images, découvrir le langage cinématographique… C’est ce que propose Abderrahmane Bekiekh, lors de conférences sur le cinéma, les films du patrimoine ou encore la mise en scène, au Cinéma Rouge et Noir à Saint-Julien en Genevois.

A Cinecursus, Abderrahmane Bekiekh en collaboration avec l'Université de Genève, enseigne l'histoire, la théorie, l'esthétique, le vocabulaire et la grammaire du cinéma. Il a analysé, décortiqué plus de cent films et anime un atelier d'écriture de scénario. Parallèlement, il lit et commente les scénarios que les scénaristes, réalisateurs ou producteurs lui envoient. Il est aussi enseignant, intervenant ou membre de plusieurs institutions en rapport avec le cinéma. Depuis 5 ans, il intervient au Rouge et Noir à Saint-Julien.
Ses interventions passionnantes attirent un public toujours plus grand, qui au-delà du cinéma-spectacle cherche à éduquer son regard, enrichir sa connaissance et sa sensibilité, stimuler son imagination, éveiller son esprit critique ou encore développer son expression.


Tous les secrets de la mise en scène
"Pour une plus juste appréciation d’un film, le spectateur doit apprendre à ne plus seulement regarder, mais voir, lire et analyser les images d’un film"  témoigne Abderrahmane Bekiekh. "Cet enseignement éduque le regard, le sens de l’observation en vue d’affiner le mode de perception et de réception pour une vision plus complète et donc une meilleure compréhension de l’œuvre cinématographique."
 "L’analyse d’extraits d’œuvres de cinéastes, de genres différents permet l’élaboration d’un dispositif d’observation pour aiguiser le sens critique que porte en lui chaque spectateur et qui ne demande qu’à s’affiner. "  
             
Lors des conférences sur la Mise en scène, Abderrahmane Bekiekh choisi un film et projette des extraits qui sont suivis d’un commentaire, afin de révéler la pertinence des divers points de vue.
En décortiquant un film, scène par scène, plan par plan, il explique le processus de création, les moyens utilisés par l’auteur, les choix opérés et utilisés durant l’activité créatrice pour construire son œuvre.    
 Des films qui révèle parfois bien des secrets, des messages transmis de façon subjective ou objective par le metteur en scène, des métaphores et allégories employées.

L'exmple d'I comme Icare, d’Henri Verneuil
Une analyse passionnante pour ce film qui s'appuie sur l'allégorie d'Icare : « à vouloir trop s'approcher de la vérité, on se brûle les ailes. » D'une manière générale, ce film est une critique féroce du pouvoir dans les sociétés modernes et approche particulièrement la manière dont un pouvoir, quel qu'il soit, peut amener un quidam à effectuer des actes d'une grande cruauté.

En outre, le film recrée, l’incroyable expérience de Stanley Milgram, qui fut conduite au début des années 1960 et qui a fasciné Henri Verneuil, reposant sur une démonstration scientifique de la capacité humaine à se soumettre à l'autorité.
Abderrahmane Bekiekh décompose cette scène pour expliquer les subtilités de la mise en scène qui permettent au spectateur d’entrer dans l’histoire, de ressentir les émotions du procureur interprété par Yves Montand lorsqu’il assiste à l’expérience. Il amène le spectateur au plus près de l’action lorsque celui-ci sursaute, rit jaune, s’inquiète ou s’insurge de ce que subit le cobaye soumis aux décharges électriques. Il l’amène de façon inconsciente à s’interroger sur sa propre attitude face à l’injonction d’obéir aux ordres.



Le programme des conférences au Cinéma Rouge & Noir de Saint-Julien en Genevois

Le dimanche après-midi : de 13h30 à 17h30
Dimanche 26 janvier : Film 5 : SWIMMING POOL (2002) : François Ozon
Dimanche 23 février : Film 6 : LA RIVIÈRE ROUGE (1948) RED RIVER : Howard Hawks
Dimanche 30 mars : Film 7 : MOONFLEET (1955) : Fritz Lang
Dimanche 27 avril : Film 8 : TOTO LE HÉROS (1991) : Jaco Van Dormael
Dimanche 25 mai : Film 9 : NOUS NOUS SOMMES TANT AIMÉS (1974) : Ettore Scola
Dimanche 29 juin : Film 10 : ZELIG (1983) : Woody Allen

La mise en scène, le jeudi soir de 20h30 à 22h30,
Jeudi 20 février,  Jeudi 24 avril et  Jeudi 26 juin : programme à venir.

Les Films du Patrimoine, le jeudi soir de 20h30 à 23h00
Jeudi 23 janvier : Saint-Julien : Deep End (1970) Jerzy Skolimowski
Jeudi 27 mars : Saint-Julien : Femme sous influence (1975) John Cassavetes
Jeudi 22 mai : Saint-Julien : Le voyage à Tokyo (1953) Yasujiro Ozu
Jeudi 3 juillet : Saint-Julien : Mort d’un cycliste (1955) Juan Antonio Bardem

Optimisme, partage, et créativité pour une Belle et Heureuse Année 2014


2013 a vu la naissance du magazine Web Genevois Styles, et de tant d'autres beaux projets que j'ai eu plaisir à partager avec vous. Je fais le voeu le plus cher que toutes les petites graines plantées en 2013 continuent de germer, de croître et d'essaimer, en beauté et en harmonie avec l'homme et la nature en 2014.

Que la créativité, l’optimisme et l’inspiration positive guident nos pas vers un monde nouveau et meilleur. Je vous souhaite à tous et à toute, à vos amis, à vos familles, une très belle année 2014, remplie de d’amour, de joie et de bonheur partagés.

Merci à tous les créateurs et entrepreneurs du Genevois, pour vos sourires, votre enthousiasme et votre dynamisme...

A bientôt, Pascale Weber